À l'Assemblée nationale

L'un des nombreux enseignements que j'ai tiré de mon premier mandat a été de me rendre compte que, si je voulais défendre au mieux les intérêts de mes concitoyens haut-savoyards et porter les thèmes qui me sont chers, il me fallait être "au coeur du réacteur" de la prise de décision. C'est dans cette optique que j'entame ce nouveau mandat avec une nouvelle commission et de nouvelles responsabilités.



La Commission des affaires culturelles, de l'éducation et du sport

Pour ce deuxième mandat, j'ai décidé de changer de commission. Avant de vous en dire plus sur ce choix, laissez moi vous rappeler le fonctionnement des commissions au Parlement.

A chaque nouvelle législature, les 577 députés sont répartis dans l’une des huit commissions permanentes de l’Assemblée nationale. Ces huit commissions se complètent en ce que chacune est chargée d’étudier les textes relatifs à des thématiques précises. Le champ de compétence d’une commission dépend donc de sa « spécialisation ». La composition de chaque commission prend en compte les équilibres politiques du pays puisque chaque parti y est représenté dans la même proportion que dans l’hémicycle. 

 Grâce à leur plus petit nombre de députés et à leur champ de compétences plus restreint, les commissions permanentes permettent d’engager un travail de fond plus fourni et de laisser plus de place aux débats que ce qui est possible dans l’hémicycle. Nous y posons également les bases des futurs échanges en séances plénières puisque le texte de la commission est celui qui est discuté à l’Assemblée en séance publique. 

Après avoir été membre de la Commission du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire (CDDAT) lors de la précédente législature, où j’ai eu l’occasion de traiter des sujets de l’économie circulaire et de l’aménagement du territoire, je siégerai lors des cinq prochaines années à la Commission des Affaires Culturelles et de l’Éducation (CACE).

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Deux fils rouges guideront mon action au sein de cette commission. D’abord la question de la jeunesse. Je veux donner les moyens à nos jeunes de s’impliquer pleinement dans notre société, que ce soit sur des questions de citoyenneté en leur redonnant goût à la participation à la vie démocratique du pays ou par le travail en leur offrant une aide et un soutien de tous les instants pendant leurs années de formation, du collège à l’université en passant par les formations professionnelles. En tant que sportive, j’aurai également à cœur de travailler les sujets du sport. Je sais à quel point le tissu associatif sportif nourrit nos relations, je veux que mon mandat s’inscrive dans une dynamique permettant à ces associations de grandir et de se stabiliser.